Archive for the ‘compétences transversales’ Category

Un jour que nous rentions de vacances, sur l’autoroute, du côté d’Auxerre, j’ai vu un accident de voiture. Il y avait beaucoup de monde et nous roulions sur deux files, à une bonne vitesse néanmoins.

 

C’est une image assez déroutante. Nous étions dans notre file quand tout à coup, une camionette de déménagement qui était deux voitures devant nous s’est mise à divaguer sur la route, à gauche, à droite, à gauche, à droite, talus latérale, choc frontal violent ! La camionette rebondit sur le talus et s’immobilise sur son côté droit, sur le bas-côté.

Et là il faut intervenir ! Choqué ! Courir et se dire combien de mort ? Pas de suspens, plus de peur que de mal !

Si je parle de cet accident c’est qu’il m’a interrogé sur deux choses qui se sont passées. La première est l’objet de ce billet et la seconde le suivra dans un autre billet.

Comme dans un rêve, j’ai su exactement quoi faire. Un type à l’intérieur appellait à l’aide, et intuitivement, j’ai pris le  pare-brise morcelé avec deux doigts de chaque main (pour ne pas me couper) et sans forcer, je l’ai retiré et je l’ai jeté, à la grande surprise du conducteur qui appelait et qui malgré toute la gravité de la situation s’est arrêté net devant tant de magie !

Pourquoi j’ai fait ça, moi qui ne suit pas secouriste, ni pompier. Je rapproche cette action de la sérendipité dont j’ai déjà parlé par ailleurs.

J’ai toujours été sensibilisé (mon histoire personnelle) à la sécurité et je suis très réactif. j’ai aussi fait mon service militaire dans une spécialité de surveillance. J’ai donc tout un arrière plan mental imprégné par cette fonction. Sans cet arrière plan mental, pas d’intervention possible. La seule réponse  possible que j’aurais pu apporter aurait été "oh ! Les pauvres !"

Et c’est parce que je suis sensibilisé à cette fonction qu’un jour, en regardant la télé ou en écoutant la radio, ou je ne sais trop,  j’ai pris note de cette information : les nouveaux pare-brises (nouveau par rapport à quoi j’en sais rien – nouveau depuis quand j’en sais pas plus !) sont prévus pour ne pas voler en éclat lors d’un choc violent et peuvent être enlever avec deux doigts.

C’est après l’intervention que j’ai analysé pourquoi j’avais agis ainsi et pas sur le coup. Sur le coup j’ai fait et puis c’est tout !

En quoi est-ce que cela relève de la sérendipité  ou de quelque chose d’approchant, pour moi ?

J’ai un arrière plan cognitif préparé qui me permet de sélectionner dans le flux de données des informations qui se transforment instantanément en connaissance, par infusion, par filtrage et non par construction. C’est quasi inconscient ! Survient un élément déclenchant qui me permet d’agir.

Un arrière plan préparé, un filtrage imprégnatif, une changement surprenant dans l’ordre du monde, une action innovante! Je dirais que la sérendipité s’exprime entre le filtrage et la surprise et que l’action déclenchée c’est ce qu’on appelle l’intuition !

A discuter !

Cela fait quelques temps déjà que j’y travaille. Difficile exercice que de faire correspondre ce que l’on est dans une page de papier A4, même virtuelle.

C’est fait désormais et c’est ici.

J’ai essayé de lui donner un style 2.0 et comme c’est la deuxième version depuis que j’ai eu le DESS, on va dire que je fais un peu de marketting. En même temps, 2.0 c’est d’un commun désormais.

La logique, une première partie identité / adresse très succinte qui prouve que j’existe quelque part sur cette planète. Comme tout le monde le sait, seul Dieu n’a pas d’adresse !

Ensuite la classique définition de soi-même par le prisme des diplômes et des expériences. J’ai beaucoup épuré ces deux parties pour ne retenir que l’essentiel. Pourtant, je suis persuadé que cette partie devrait refléter la dimension sociale d’un individu et pas seulement son identité professionnelle. C’est comme ça !

Ensuite les 4 compétences qui me caractérisent professionnellement et qui me permettent de dire "je suis…" Lors de l’ue 174, le prof, Jean-Pierre Noubel, nous avait fait prendre conscience de l’abération de dire "je suis…" pour se qualifier professionnellement. Les italiens, eux préfère dire "fai" / "je fais".

Enfin, le mindmap, représente mes compétences de travailleur du savoir. Beaucoup peuvent se reconnaître dans ces quatre branches principales : Personnel Knowledge management, travail à distance, collaboration, communication.

A vos commentaires, s’il vous plaît !

C’est une des premières histoires que j’ai inventé pour expliquer les relations de hiérarchie et d’association entre descripteurs dans un thesaurus.

La banane est un fruit exotique, les fruits exotiques sont des fruits. Dans les fruits exotiques, il y a des bananes, des mangues, des ananas etc. Toutes les bananes sont des fruits exotiques, tous les fruits exotiques ne sont pas des bananes. Nous sommes dans une relation disymétrique. A ce moment là, je fais une représentation par ensemble des relations entre ces termes.

J’indique l’intérêt pour la recherche de jouer sur les deux niveaux spécifique / générique.

Ensuite j’indique qu’un autre processus intéressant pour la recherche, est l’utilisation des associations d’idées. Un mot me fait penser à un autre qui me fait penser à un autre etc.

Je demande ensuite ce qu’évoque pour eux le mot banane : singe, martinique, peau etc.

Je reviens ensuite sur ce qu’ils ont dit, et face à eux, je vais répéter chaque mot en faisant un pas de côté pour chacun de manière à m’éloigner de plus en plus de ma position initiale. A la fin je leur montre le chemin parcouru et je l’ai mets en garde contre un usage immodéré du processus d’association


Dans le cadre des apprentissages info-documentaires, cette année,
j’ai réfléchi sur ce que nous essayons de transmettre aux élèves. Pour
moi, toutes les séquences que nous mettons en oeuvre tendent à faire
passer, en même temps des démarches, des compétences, des notions et
l’usage d’outils. Cette diversité rend les apprentissages au CDI
particulièrement complexe.

Pour réduire le problème, on se concentre parfois sur un aspect et
souvent le plus facile, l’apprentissage d’outils. C’est une erreur !

Pour exister un peu, on saupoudre parfois nos apprentissages. C’est
une erreur également que l’institution encourage en ne donnant pas aux
documentalistes les moyens de leurs apprentissages.

Nous ne pouvons concevoir notre enseignement que dans une démarche
globale, ce qui ne signifie pas que les séances soient compliquées.
Idéalement, mais nous n’en avons pas les moyens horaires, des séances
simples, voir des points de micro-formation au sein de ces séances,
mais nombreuses, régulières et réparties sur un cursus. Mais là, on
rêve !

Depuis quelques mois, nous avons à faire avec un constructeur (BTP) avec lequel nous sommes allés de déboires en déboires (dégâts des eaux, non respect du contrat initial, non prise en compte de l’existant etc.). Je ne vais pas m’appesantir sur le sujet, mais ça c’est vraiment mal passé.

Nous savons donc, le responsable d’agence et moi qu’il va nous falloir négocier des indemnités, sachant que, ni lui, ni moi n’avons envie d’aller en justice et sachant que il faut une sortie honorable aux deux parties. Il faut en effet que nous sortions tous les deux par le haut.

Je veux que les indemnités soient suffisament élevées, pour marquer la hauteur du tort causé. L’argent est ici l’unité de mesure du tort causé.

Lui a une hiérarchie, qui en marre de cette histoire et veut donc solder le problème avec le minimum de perte en terme d’images.

Donc on va s’entendre ! Reste à évaluer la hauteur des indemnités.

La négociation a duré une bonne heure et demi, pendant laquelle nous avons avancée arguments et contre-arguments. Je sais être en position de force, ce qui est un avantage. Son travail a consisté à limiter la casse.

 

Finalement nous sommes arrivés à un accord.

 

J’ai fait une proposition, il a fait une contre-position. Je n’ai pas cherché à négocier plus (ce que j’aurai pu) car j’estimai que sa proposition était honnête et qu’elle satisfaisait les objectifs que je m’étais fixés.

 

Cela va dans le sens de Peter Drücker et de son art du management d’une entreprise. Pour lui une entreprise doit réaliser ses objectifs et pas chercher à gagner coute que coute de l’argent.

 

Ce billet pour indiquer deux choses,

– primo je sais négocier quand est en jeu un intérêt personnel

– secondo, j’aime ça.

Est-ce que je peux reproduire ce type de comportement dans une négociation de travail. Il faudrait alors que je sois dans un autre système de relation que celui actuel.

C’est à réflechir.

C’est chez outils froids que j’ai découvert cette notion de personnal knowledge management que l’on peut traduire par l’application des méthodes et outils du knowledge management sur soi.

Voici la définition qu’en donne outils froids dans un billet à lire absolument et qui retrace l’historique de la notion avant d’essayer d’en cerner les contours :

« Le Personal Knowledge Management met en jeu un ensemble de techniques et d’outils relativement simples et peu coûteux que chacun peut utiliser pour acquérir, créer et partager la connaissance, étendre son réseau personnel et collaborer avec ses collègues sans avoir à compter sur les ressources techniques ou financières de son employeur »

Parler de PKM suppose de considérer un être humain comme un système complexe en interaction avec d’autres systèmes complexes.

Cela revient également à supposer que la connaissance d’un individu de son acquisition à son utilisation opérationnelle sont des fonctions aussi importantes que l’alimentation ou la reproduction.

L’intérêt du PKM est d’une part de rendre explicite ce qui est tacite. C’est un effort de formalisation de sa connaissance personnelle permis désormais par les outils numériques qui relèvent, eux aussi, de la connaissance.

Cela permet alors de garder la trace temporelle de ce que l’on acquiert au contact des informations (données ayant un intérêt pour soi) et qui vont s’aggréger à son propre système de valeurs et de connaissances.

Cette trace est chronologiquement datée, elle donne une photographie, à l’instant choisi, de l’état de la connaissance d’un individu.

Cet effort de formalisation est aussi du domaine de la connaissance, et relève plus particulièrement de la metacognition. J’apprends en mediatisant ma connaissance.

Enfin cette formalisation est aussi la visualisation d’un réseau de connaissance. Je n’apprends pas de moi-même mais par la mediatisation (technologique ou humaine) de savoirs vulgarisés (mise à disposition d’un large public), didactisés (mise à disposition d’un public d’apprenant), personnalisés (mise à disposition de ce que je sais à qui veux bien le lire et plus particulièrement mon réseaux de relations).

C’est aussi dans cette optique que j’ai construit ce portfolio qui est désormais en voie d’achèvement (je prévois encore une quinzaine de billets). J’ai choisi le format blog qui me paraissait d’après mes lectures être le plus intéressant. Désormais, avec Esphère, je pense qu’un wiki serait plus efficace. Je vais donc probablement, si j’ai le temps, le faire migrer sur un outil de ce type.

Autre dispositif existant que j’estime performant, mais qui doit toujours être amélioré, est la veille d’information que je pratique avec différents outils (rss, listes de discussion, listes de diffusions)

Pour compléter ce dispositif, j’ai mis en place plusieurs outils.

J’ai fait migrer les favoris de ma bécane vers les serveurs yoono. L’architecture des catégories pourraient être améliorées.

Je viens également de créer un compte del.icio.us pour tagger tous les articles de blogs (et autres) que je trouve sur Internet. Les derniers billets taggés sont publiés sur le blog "connaissances en mouvement".

Ce blog, créé dernièrement, va recevoir toutes les connaissances que j’acquiers à la lecture des billets que je lis. Il y aura des définitions, des commentaires d’articles, des copiers collers ou des billets plus élaborés. Ce sera un work in progress de ce que je sais et apprends à ce moment-là.

Il faut que je réfléchisse également au traitement des pdf, ppt etc. que je télécharge d’internet. Le traitement actuel : lecture / acquisition de connaissances / stockage / traces conservées ne me satisfait pas.

Mais le PKM n’est pas uniquement la gestion d’information, c’est aussi la visualisation de son propre réseau de relation. Les outils de réseaux sociaux vont dans ce sens. Personnellement, je suis chez viadeo et je viens de découvrir netploy autour du télétravail qui correspond à un de mes centres d’intérêt. Je pense également que je ne vais pas tarder à m’amuser avec un PDA.

L’objectif, à terme, de ce PKM est de me créer un glossaire réunissant les mots importants en lien avec ma connaissance et si je prends le temps de me former à cet outil, une ontologie. L’autre objectif est d’arriver à me visualiser dans un réseau d’expertise. Ainsi la boucle sera bouclée.

Tout cela aurait-il finalement un lien avec les Personnal Learning Environment (PLE) et l’identité numérique ?

Ce billet est la suite de

-"la première séquence d’apprentissage…"

– "un brainstorming en seconde"

"Apprentissage de la recherche documentaire ou apprentissage d’un logiciel"

– "Face à un moteur de recherche, le mot clé"

– "Première consigne pour une prise de note"

– "C’est la fin de la première séquence en ECJS"

Nous commençons toujours un travail de recherche par un brainstorming. En début d’année en seconde, nous passons un peu de temps sur cet exercice qui sera répété par la suite plusieurs fois pendant la durée de la scolarité d’un lycéen.

Les débuts de la séquence

Concrètement, il y a au préalable un thème de recherche qui a été défini par les profs d’ECJS. A partir de ce thème, 6 sujets ont été définis par les enseignants. Ensuite, certains font une rapide introduction sur le thème d’autres préfèrent attaquer directement. Après la mise en groupe de deux ou trois personnes, pour arriver à 6 groupes, il y a choix par les élèves, ou tirage au sort, d’un sujet différent par groupe.

Le brainstorming

Nous définissons ensuite brièvement ce qu’est un Brainstorming (tempête dans un cerveau – remue-méninges — > vocabulaire de la pub –> Objectifs attendu par un BS)

Je me sers, pour le brainstorming d’un tableau blanc. J’écris le thème au tableau et je souligne les différentes parties du thèmes. A chaque partie, j’affecte un pronom relatif issu du QQOCQP.

Exemple cette année :

Les
transformations

de la famille,

après
guerre,

en France

QUOI ?

QUI ?

QUAND ?

OÙ ?

Ensuite, je demande aux élèves de travailler sur le thème (et non sur les sujets) pendant une dizaine de minutes. Il faut qu’ils trouvent des mots clés en liens avec les 4 entrées possibles du thème quoi ?; qui ?, Quand ?, Où ? En privilégiant les deux premiers.

Ensuite, chaque groupe, dit à voix haute les résultats de son BS tandis que les autres écrivent sur leur prise de notes les mots clés auxquels ils n’ont pas pensé. Je note au tableau tous les mots clés en essayant de regrouper, à la volée pour dégager des thèmes.

Je demande enfin aux élèves de surligner les mots importants pour leurs recherches à venir. Il s’agit désormais de passer du thème général aux sujets particuliers et de les classer par ordre d’importance pour leur travail.

Une carte heuristique

Ensuite, pour la séance suivante, je propose une carte heuristique des résultats. Ce qui fait que chaque groupe va avoir une carte différente. On peut ensuite afficher les résultats au CDI et dire que nous avons, pour chaque groupe une première approche d’une connaissance partagée et également montrer la relativité de cette connaissance.

Si je fais ce travail, c’est pour introduire les élèves ensuite pour la
seconde séquence à la construction d’une telle carte.

En parallèle à l’ue 155, on attaque une unité d’enseignement au schéma un peu différent des précédentes.

 

L’espace dans lequel nous allons évoluer n’est pas la plateforme moodle de l’université mais un tiki wiki. C’est l’UE 174 pilotée par Jean-François Nouvel.

 

Son objectif est de nous accompagner dans la création d’une connaissance partagée et l’objet créé sera le wiki qu’il met à notre disposition. Il attend de nous un maximum d’interaction, ce qui signifie créer du contenu et l’interrelier.

 

Il nous a demandé dans un premier temps de créer notre profil et de ne pas hésiter à créer des articles en lien avec l’intelligence collective. J’ai fais un article sur les arbres de connaissance, et j’ai participé à quelques discussions notamment sur l’autorité.

 

Le prof avait également prévu des questions exploratoires. Il nous faisait un apport succint sur une question, à charge pour nous de l’illustrer. L’ensemble des questions permettant de définir ce qu’est l’intelligence collective.

 

Voici la liste des questions exploratoires : intelligence collective ; intelligence collective originelle, intelligence pyramidale, émergence, intelligence collective globale, holloptisme, développement personnel.

 

A côté de cela, nous étions invités à nous présenter à la machine à café (chat intégré au wiki) pour discuter, échanger, faire du lien.

 

Enfin, un chat était prévu avec le prof de temps à autre.

 

Cette unité d’enseignement a été comme une récréation et je pense que plusieurs d’entre nous l’ont pris comme telle. Il y régnait une ambiance détendue et fraternelle.

 

Oui Mais…

 

Oui mais j’ai pas adhéré.

 

L’intelligence collective j’y crois, plus comme un moyen d’atteindre une efficacité collective que comme une fin en soi. Je crois aussi qu’il y a dans l’IC des dérives possibles qui me semble dangereuses et ces dérives je les ai ressenties dans cette UE et particulièrement dans un chat avec le prof.

 

C’est pourquoi, à un moment je me suis arrêté de participer au wiki.

 

Je crois plus à l’action collective qu’à l’action individuelle, je crois à la collaboration dans l’action, je crois que tous ce que nous avons vu, dans les questions exploratoires, est nécessaire pour que cette collaboration s’épanouisse et épanouisse ses membres mais il y a une dimension mystique qui m’a fondamentalement déplu et qui heurte qui je suis.

Je continue l’exploration, commencé ici et ici, des objets qui peuvent donner un regard sur mes pratiques et mes centres d’intérêt par la liste de mes abonnements électroniques.

J’ai compartimenté ces abonnements en boites aux lettres thématiques. j’ai donc 11 adresses électroniques, quasiment toute à la poste.net.

J’ai une boite totalement privée, une boite réservée aux transactions commerciales, 4 boites professionnelles, dont une réservée aux échanges individuels, 5 boites qui couvrent mes centres d’intérêts.

Pour la lecture, j’utilise deux thunderbirds, un sur ma clé et l’autre sur le portable familiale.

boites aux lettres électronqies

Issu du monde des documentalistes dont le maître à penser (et à classer) est indubitablement George Perec avec son « classer penser », je continue l’exploration de mes objets de rangements (après Firefox2.0), sachant que l’intitulé des rubriques en dit souvent plus sur les personnes et leurs centres d’intérêt.

Voici dans ce post mes fils d’informations à ce jour. Je viens de compter, il y en a 319. C’est un peu dément. Mais rassurez-vous, je ne les lis pas tous au même moment, ni à la même vitesse de lecture. Il y a les incontournables qui le sont car leurs auteurs ont un style (Les blogs ont remis au goût du jour cette notion et c’est tant mieux). Il y a mes centres d’intérêts premiers (intelligence collective – communautés virtuelles etc.), il y a les utilitaires (euh « outils ») et puis d’autres que je vais voir de loin en loin, voire très loin. Cela fait une heure par jour approximativement et ce n’est pas tous les jours.

Pour vous présenter les rubriques et quelques fils, je viens de faire une carte mentale. J’ai changé d’outil et je viens de tester mindmanager dont l’offre spécial blogger a du faire plaisir à plein de monde.

Je reste toujours dubitatif face à cet outil bien qu’il ait quelques avantages.

Voici – voilou la carte de mes fils

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